Construire la meilleure proposition de valeur

Salarié(e) ou indépendant(e)? Guide complet pour faire le bon choix !

Salarié - indépendant

Voici un guide complet ✅ pour poser votre réflexion et faire le choix qui conviendra le mieux à votre situation actuelle, votre caractère, vos ambitions futures, etc.

Commençons par reconnaître que la question est bien évidemment plus ardue qu’un simple choix entre deux mots qui représentent deux statuts contractuels et professionnels différents. De 2009 à 2018 j’ai été salarié et je suis totalement indépendant depuis septembre 2018, voici donc après 3 ans d’indépendance une prise de recul pour aider à la réflexion de chacun.

A ceux qui sont déjà indépendants et connaissent cette réalité, je vous invite directement à passer à la partie II. A tous ceux qui sont actuellement salariés ou sans emploi après avoir été salariés, accrochez vos neurones, c’est parti : on plonge dans la réflexion 🤿 . . .

I. Salarié(e) : une réalité plus commune donc plus désirable ?

Force est de constater que le travail salarié est bien la forme la plus courante : 87% de la population active en Suisse contre 13 % de travailleurs indépendants (chiffres 2021). Au delà de ce constat, le salariat est, dans l’immense majorité des cas, le lieu de la “naissance professionnelle”, la “première marche” de toutes les carrières🚼.

I-1 Cinq avantages majeurs du salariat

I-2 Cinq désavantages majeurs du salariat

II. Indépendance : une réalité professionnelle de plus en plus enviée car plus adaptée à notre société ?

Dans une économie de services grandissante et tirée de plus en plus par les ressources, les travailleurs indépendants offrent une flexibilité, une simplicité et une sécurité financière : l’entreprise paye son besoin de ressource à la prestation réalisée. Est-ce un statut bâtard réservé à des resquilleurs du monde professionnel ou un état professionnel plus adapté à des états de vies assumés 🧠?

II-1 Cinq avantages majeurs du travail indépendant

II-2 Cinq désavantages majeurs du travail indépendant

III. Une double conclusion 

Imaginons pour illustrer cet article un “CDI hybride” comprenant une clause de renouvellement volontaire et unilatérale de l’employé tous les 3 mois. L’avantage est simple, le salarié réaffirme tous les 3 mois sa motivation/détermination dans son choix libre de poursuivre son travail selon les conditions de travail définies, la “routine contractuelle” n’existe donc plus. De même l’employeur peut s’assurer du bien-être et de l’investissement professionnel adéquat de son salarié dans un respect accru de son indépendance.
En toute honnêteté je pense que beaucoup de salariés ne resigneraient pas le prolongement de ce CDI hybride bien avant la démission effective qu’ils auraient posée avec un CDI classique. Il me semble que le salariat implique d’avaler plus de couleuvres / de grincer  plus souvent des dents, en raison de frustrations liées à de perpétuels espoirs d’amélioration des conditions de travail. Espoirs trop souvent déçus dans mon expérience personnelle salariée passée. Je laisse néanmoins chaque salarié qui me lit se poser la question et y répondre honnêtement.

En définitive, ce choix professionnel entre salarié et indépendant n’est pas la résultante des aléas de la vie professionnelle ou d’un jeu d’opportunités, c’est un choix intime lié à votre état d’esprit et votre caractère.
Si vous en sentez le besoin, il faut savoir vous écouter et tenter cette aventure de l’indépendance : l’aventure -maîtrisée ou pas totalement- nous enthousiasme et nous donne le plus souvent l’envie de nous dépasser, d’aller plus loin 🔥.

Vos commentaires salariés ou indépendants sont les très bienvenus 😉 !

Exit mobile version